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Correspondances politiques et culturelles
16 juin 2010

Divergence avec Moumbaris /2

Cher Camarade Hassan Al ZaïdiIl me semble que la situation de l'Iraq, et de sa résistance, aurait besoin de toutes les bonnes volontés quelque soit leur nationalité, leur affiliation politique, leur religion etc. L'ennemi principal étant les États-Unis tous ceux qui contribuent à les battre sont des possibles alliés. Cela ne comprend pas ceux qui pour une raison ou pour une autre combattent la résistance ou ceux qui combattent ceux qui aident la Résistance. Il arrive des fois que les ultra résistants font le jeu de l'ennemi...Cela étant dit, je suis président de la Nouvelle Association Joseph Staline et en tant que tel je considère mon devoir d'aider la lutte du peuple irakien dans la mesure où ma situation me le permet. Ce n'est pas à moi de prendre les armes, mais c'est à moi d'informer de faire campagne ici en France pour le retrait des troupes impérialistes.... L'occupation est avant tout un problème intérieur iraquien. Ce qui se passe à l'extérieur est en partie le notre. Une bonne entente est très utile

. Pour ma part, bien que je ne sois pas Baathiste je reconnais comme seul gouvernement légitime de l'Irak celui du parti Baath, et bien que je ne me considère pas un adepte politique de Saddam Hussein je reconnais sa légitimité, son héroïsme et son martyre! En Iraq pour moi il y a des hommes, des Irakiens, et parmi eux il y a des arabes, des musulmans, des athées, des chrétiens..... peu m'importe, je les vois tous comme des personnes, mes frères, en l'occurrence irakiens occupés par des puissances impérialistes.Par conséquent nous devons admettre que nous avons certaines divergences.

Alexandre Moumbaris

 

 

----- Original Message -----From: hassan alzaidi

To: democriteSent: Wednesday, October 01, 2008 12:09 PM

Subject: Re : ContactCher camarade Alexandre Moumbaris;Je  remercie  mon  camarade  le tunisien Munther Safer qui nous mètre en contacteJ'ai lu les deux documents que tu m;envoyer eux quels je donne mon avis

Le premier concernant  l; intervention de la Roussie en George ; je sus contre toutes formes d; interventions dans les affaires d;un état contre un autre sous n;importe quel argument ;car la Roussie dés  ses Tsar es ; son héritière  l; U R SS de Staline; et  son héritière la Roussie de Butine était et elle  est toujours occupe des territoires des autres peuples dont les quels se trouves des Musulmans dont la Tchéchénie ; par contre je soutien sans réserve le démarche de la Roussie de reprendre sa place internationale en face les autres puissances euro - américaines a conditions qu'elle  né ne  serait   pas sur nos  dos;  ni sur  nos valeurs moreaux et économiques .

Le deuxième concernant l;occupation  condamnable euro - américaine de l;Ira que et ses conséquences graves et douloureuses ..Ici aussi; je ne suis pas d;accorde des cet aines idées avancées dedans a sa voire /

1- Ni Saddam Hussain  ; Ni  Izat AL Douri;; Ni  Tarik Aziz auquel certaines organisations dites humanitaires prêchèrent auprès des américains pour lui libère car il est un des certains hommes irakiens semblables  a Mouwafaque AL Rubaii ;ou  ; tous les 25 dirigeants irakiens collaborent avec les Occupants d&s 9 avril 2003 qu'ils le considèrent comme une journée de libération de l;Irak et Ni  tous l;équipe qui restent avec Saddam  jusqu'à le 9 avril 2003  et les autres dirigeants  qui restent avec les 25 nouveaux dirigent dés 9 avril ; n'étions pas   héros arabo- musulmans ; car ils  ont; les uns comme les autres ont fait  tous naïvement ou avec leur conscience  pour démouler le reste de la beauté le monde arabo- musulman;  s;il reste encours quelque choses de sa beauté   

2- Le Parti Bathe au quel j;était membre de 1956 a 1986 est un les pré mires responsables de tous les maux dans les quels se trouve note cher pays - nation et nos chères peuples  avec les autres partis politiques dont ;les P C I ; Les Partis Islamiques Chiites - Sunnites;  les Partis Kurdes  et les autres Partis dits laïques;

3- La Résistance n'était pas et elle ne serait jamais   ni Bathiste;  ni musulmane et  ni arabe ;  mais elle est  irakienne ; arabe ;musulmane; tiers modistes et mondiale Voir  Hassib Khairi AL Din; né a Mousul le 1929 PH. D en économique Cambridge D G de Centre des Études de l; Unité  Arabe CEU A dés 1981 et des figures de la Résistance dans un de  ses livres sous titre;  La Future de l; Irak; Édition du C E U A; ainsi parmi de milliers des iaiens et irakiennes ;   Muhsin AL Cheikh Radi ; né a Nadjef le 1927 et un membre de Commandement national du P B A S de 1961 a 1964 ; Toma Subhi ; né a Mousul en 1938 ; Sami Hamid; est un Kurde Syndicaliste Widat AL Ani enginiére  et journaliste    

4- Je suis contre l;hégémonie des certains militaires sur la ou les Résistances ; car elle -s  a- ont; de multiples formes dés  le pacifisme Gandhi en  et militarisme Guevariste

Cher Camarade; permette moi de t'envoyer le statut de Association des Irakien-nes et leurs Ami-es de France  pu pliée dans J O F n 1772 du 14 avril 2007 au quelle; j;ai l;honneur d'être jusqu'à ici ;le président et  au quelle je ténvité de nous rejoindre

Merci et bientôt;AL Zaidi Hassan;;  docteur d'état ès lettres en histoire de la Sorbone en 1989   et écrivant

 

De: democrite <democrite@neuf.fr>
Objet: Contact
À: alzaidi.hassan@yahoo.fr
Date: Mardi 30 Septembre 2008, 19h28

Voici mes coordonnées Alexandre MOUMBARIS;52, bd Roger Salengro/93190 LIVRY GARGAN/TEL 01 43 01 01 30

PORT. 06 10 52 36 91

 

 

On the alert!


The very quick military victory of the Russian army in Georgia has a positive strategical importance, because it achieved four fundamental results at one time: 1) it wounded to death the puppet Saakashvili, whom, from 2003, had made Georgia the vanguard of the euro-atlantic alliance in Caucasus; 2) it destroyed the myth of "coloured revolutions" and therefore put an and to the Western imperialism’s pretension to bring its puppets to power thanks to the "democratic" mobilization of the masses; 3) it put an and to the euro-american pretension to mutilate Russia's geopolitical power by widening NATO towards the East (Europe, Caucasus and Central Asia); 4) therefore, it undermined in a fatal way the Northern American imperial and unipolar plan.


But the new balance of power which came out from the Russian victory is fragile, and exposed to a certain Northern American counter-offensive. The United States, taken by surprise by the Russian strike, are already threatening a tough revenge. Both presidential candidates (Obama through Brzezinsky and McCain through Palin) indeed have not hesitated to define Russia as the main strategical enemy of the US, both strongly reasserting unipolarism and the consequent will to widen NATO not only to Georgia but also to Ukraine and any country wishing to join it. Finally, while the threat of an attack against Iran is not ruled out, the US have chosen the way of frontal clash with the Bolivarian governments of Latin America.


NATO is not just a tactical weapon or a mere prothesis of the Pentagon to fight every popular anti-imperialist resistance or overthrow hostile governments (as was seen in the war against Yugoslavia and the current ones Iraq and in Afghanistan). NATO is, rather, looked upon by the US as the pillar of their imperial geopolitics, as a structural way of being. This formidable imperial army was conceived to preserve the American worldwide supremacy, and it can play this role by incorporating their allies as vassal states and dealing with every independent country as a hostile force and every popular resistance as "terrorists" (see Iraq).


We have to firmly reject both the American unipolarism and the complementary plan to widen and strenghten NATO. Those two basic elements of the imperialist policy are the factors keeping the world in a state of permanent war and threatening to bring it on the verge of a catastrophic outbreak.


A wide and unitary mobilization for the dissolution of NATO, for the immediate dismantling of its basis worldwide and against any widening, is a categorical priority for anyone who cares not only for peace, but also for the peoples' right to resistance and self-determination.


Next year will be the 60th anniversary of the birth of NATO. We join the movements which proposed a great European mobilization, and ask everyone to do the same.


In the meanwhile we will work to build a first mobilization in occasion of the summit of Ministers for Defence from 26 countries of the European Union, scheduled to take place in December. This summit, after the deadlock of the NATO summit in Bucarest of last April, has indeed to decide about Ukraine and Georgia joining the Membership Action Plan, which is the first step to enter NATO.


Should this happen, as the United States and their most servile allies strongly demand, it would not only be an act of impudent hostility towards Russia, but also towards all the resistant countries and peoples who don't want to submit to the euro-atlantic imperial arrogance. It would mean a huge acceleration towards a conflict of incalculable destructive potential.


The mobilization against NATO and in defence of world peace is the priority!

On the alert!

Iraq
Le Front de libération nationale d’Iraq
par Ibrahim Ebeid et Hussayn al-Kurdi
De loin la plus importante histoire, le secret le mieux gardé des media occidentaux a été la croissance constante de la Résistance iraquienne contre l’occupation conduite par les États-Unis.
Alors que les services d’information des États-Unis et de leurs complices focalisaient l’attention sur la violence entre les communautés ethniques et religieuses, le Parti Baath socialiste arabe poursuivait une politique d’unification et de coopération entre ceux en Iraq qui se montraient décidés à débarrasser leur pays de l’occupant, rétablir son indépendance et reprendre son rôle aux avant-postes de la lutte arabe contre l’impérialisme et le sionisme.
L’occupation de Bagdad par les forces étasuniennes suivie par la déclaration de «victoire» de Bush en 2003, a marqué le commencement de la résistance iraquienne conduite par des dirigeants du parti Baath. Saddam Hussein et d’autres dirigeants baathistes, en consultation avec des habitants de Bagdad se sont dispersés à travers l’Iraq dans le but d’engager une guerre de libération nationale et de résistance de longue durée. Ils n’ont pas voulu rester concentrés à Bagdad afin d’éviter sa destruction et pour mieux réussir la transition vers une lutte de guérilla ou de guerre populaire.
Alors que les États-Unis lâchaient leurs escadrons de la mort, composés d’exilés, contre le peuple iraquien, ciblant ceux qui soutenaient le Baath ou qui étaient autrement opposés à l’occupation; le Parti Baath, ses alliés et ses partenaires opéraient contre l’ennemi, ses pantins et ses hommes de main compris, des engagements de caractère militaire, en prenant scrupuleusement soin d’éviter de heurter des innocents, tout en encourageant l’unité des Iraquiens de toutes les affiliations religieuses, ethniques ou politiques épris de liberté et prêts à défendre la nation.
Malgré diverses tentatives pour coopter, discréditer et diviser le Baath, il est remarquable qu’aucun membre éminent n’a été amené à trahir les principes du parti, la promotion de l’unité arabe, et la lutte pour libérer les terres arabes des occupants étasuniens et israéliens, et cela dans la perspective d’une société socialiste au service du bien-être des classes populaires.
Saddam Hussein a émergé comme un dirigeant, grand et résolu, martyr et père fondateur, champion de la cause arabe et de l’Islam dans la tradition de Salah al-Din al Ayyoubi, le fabuleux «Saladin» qui avait chassé les Croisés de Jérusalem et mis en échec leurs efforts pour occuper la Palestine et subjuguer les forces de l’Islam. Les activités de Saddam et son exemple ont contribué de manière incommensurable à la ré-émergence du parti Baath dans le cœur et la tête de la Résistance. Cela reste un secret bien gardé aux États-Unis et en occident. Même des cercles gauchistes et soi-disant «progressistes» qui dans le passé ont soutenu des mouvements de libération nationale tels que celui du Vietnam, ne se sont pas manifestés avec des expressions de solidarité similaires pour le cas de l’Iraq. Ils disent plutôt que le Baath «est mort avec Saddam», que la Résistance a été écrasée et il ne reste dans leur vision que la «guerre civile» que propage leur presse. La Résistance, pour eux, n’existe simplement pas. Heureusement, non seulement elle existe mais elle se bat en ce moment avec férocité partout dans le pays.
Le «Conseiller à la sécurité nationale» du régime fantoche Mouwafaq al-Roubaie a confirmé lors de sa récente visite à Washington que Saddam avait implanté un «virus incurable» dans les esprits des Iraquiens. Ce «virus» était le refus d’accepter l’occupation et son gouvernement fantoche. En même temps, al-Roubaie a affirmé que lui et ses associés avaient «choisi une fois et pour toutes leur allié stratégique, les États-Unis d’Amérique».
Un événement significatif a eu lieu le 26 septembre quand 22 groupes de résistance iraquiens se sont réunis en Congrès d’unification dans une partie libérée de Bagdad. Le Congrès a résolu d’unir tous les groupes présents sur la base de la libération totale de l’Iraq quel que soit le temps nécessaire. Le Congrès a aussi décidé que l’adhésion au Front unifié de la Résistance serait ouverte à d’autres groupes ou combattants qui voudraient s’y joindre. Un Commandement suprême du djihad et de la lutte de libération a été institué et Izzat Ibrahim al-Douri, le Secrétaire général du parti Baath et Président de   l’Iraq a été élu Commandant suprême du Front.
Le Commandement suprême a alors tenu une réunion où l’état-major a été créé. Le lieutenant général Amir Muhammad Amis a été nommé Commandant suprême en second, chargé des affaires militaires, alors que le Cheikh Ali Abdallah el Oubaidi a été choisi pour conduire une structure consultative religieuse. Un conseil de sécurité nationale a été formé, dirigé par le général Khalid Sulayman Khalaf. Un conseil des affaires administratives et financières a été créé sous le commandement du lieutenant général Muhammad Salih Alqan et un Bureau d’information et de mobilisation a été créé sous le commandement du général Salah ad Din Ahmad. Le Dr Kan’an Amin a été nommé porte-parole officiel pour le Djihad et le commandement de la libération.
Le commandement suprême a déclaré que le Djihad et le Commandement de libération observaient des «principes sacrés» qui ne pouvaient être violés. Aucun parti n’était autorisé à prendre part à des négociations avec l’ennemi étasunien sauf sur la base de ces principes.
Les conditions pour des négociations avec les forces d’occupation étaient clairement stipulées selon les termes suivants:
Reconnaître officiellement la Résistance patriotique et toutes les organisations de résistance patriotiques, nationalistes arabes et islamiques qu’en font partie, comme seul représentant légitime du grand peuple iraquien.
Annoncer officiellement le retrait inconditionnel des forces d’occupation, que ce soit immédiatement ou par étapes.
Arrêter toutes les attaques, les poursuites, les assassinats, les destructions, les sabotages, les dépossessions et les expulsions et retirer leurs troupes d’occupation de tous les centres de population.
Libérer tous les prisonniers et détenus sans exception et les dédommager.
Remettre en service l’armée iraquienne et les forces de sécurité nationales, et les rétablir selon les règles et les traditions en place avant l’invasion étasunienne. Ils doivent aussi être indemnisés pour les dommages subis.
Promettre de compenser l’Iraq pour les pertes et les dommages causés au pays par l’occupation.
Abroger toutes les lois, décrets et autre législation promulguée lors de l’occupation.
Si l’ennemi tient à se retirer de manière à sauver la face, il devrait s’asseoir et parler directement avec la Résistance concernant l’implémentation de ces principes sacrés. Sinon, il ne leur resterait que l’effondrement et la fuite.
Après la préparation d’un programme pour l’implémentation de ces principes, auront lieu des réunions et des dialogues dans le peuple iraquien qui permettront au gouvernement intérimaire d’engager des pourparlers avec les États agresseurs en vue de reformuler les relations officielles sur la base de l’égalité et la non-ingérence dans les affaires intérieures, le respect de l’indépendance, de la souveraineté et de l’autodétermination.
Après le commencement du retrait de l’ennemi de notre patrie, les forces de Résistance se rencontreront pour la formation d’un Conseil national (Shura) pour la surveillance de la phase transitoire et pour nommer un gouvernement intérimaire pour une période déterminée, afin de préparer des élections législatives de manière à ce que le peuple puisse élire librement ses dirigeants.
Les 22 groupes représentés à la rencontre étaient les suivants:
L’Armée de la confrérie Nakshabandya
L’Armée des compagnons du Prophète
L’Armée des Mourabitines
L’Armée de Hamza
L’Armée du Message
L’Armée de Ibn Al-Walid
Le Commandement unifié des moudjahidin (Iraq)
Les Brigades de la libération
L’Armée du Farouk
L’Armée de libération de l’Iraq
Les Escadrons des Chouhadas (martyrs)
L’Armée des Sabirines (Patients)
Les Brigades du Djihad sur la terre de Mésopotamie
L’Armée du Chevalier (dans la région «autonome») au nord   d’Iraq.
Les Escadrons du Djihad à Bassora
Les Escadrons du Djihad à Fallouja
Le Front populaire national pour la libération de l’Iraq
Les Escadrons Altaf al-Husseiniya
Les Compagnies de la libération du sud Salay Tahrir al-Junoub
L’Armée de Hanin
Les Compagnies de Dyala pour le djihad et la libération
Les Compagnies de la gloire pour la libération de l’Iraq.

 

————————————————–
Traduction de l’arabe Al-Moharer et de l’anglais Alexandre MOUMBARIS]

 

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