Divergence avec Moumbaris /2
Cher Camarade Hassan Al ZaïdiIl me semble que la situation de l'Iraq, et de sa résistance, aurait besoin de toutes les bonnes volontés quelque soit leur nationalité, leur affiliation politique, leur religion etc. L'ennemi principal étant les États-Unis tous ceux qui contribuent à les battre sont des possibles alliés. Cela ne comprend pas ceux qui pour une raison ou pour une autre combattent la résistance ou ceux qui combattent ceux qui aident la Résistance. Il arrive des fois que les ultra résistants font le jeu de l'ennemi...Cela étant dit, je suis président de la Nouvelle Association Joseph Staline et en tant que tel je considère mon devoir d'aider la lutte du peuple irakien dans la mesure où ma situation me le permet. Ce n'est pas à moi de prendre les armes, mais c'est à moi d'informer de faire campagne ici en France pour le retrait des troupes impérialistes.... L'occupation est avant tout un problème intérieur iraquien. Ce qui se passe à l'extérieur est en partie le notre. Une bonne entente est très utile
. Pour ma part, bien que je ne sois pas Baathiste je reconnais comme seul gouvernement légitime de l'Irak celui du parti Baath, et bien que je ne me considère pas un adepte politique de Saddam Hussein je reconnais sa légitimité, son héroïsme et son martyre! En Iraq pour moi il y a des hommes, des Irakiens, et parmi eux il y a des arabes, des musulmans, des athées, des chrétiens..... peu m'importe, je les vois tous comme des personnes, mes frères, en l'occurrence irakiens occupés par des puissances impérialistes.Par conséquent nous devons admettre que nous avons certaines divergences.
Alexandre Moumbaris
----- Original Message -----From: hassan alzaidi
To: democriteSent: Wednesday, October 01, 2008 12:09 PM
Subject: Re : ContactCher camarade Alexandre Moumbaris;Je remercie mon camarade le tunisien Munther Safer qui nous
mètre en contacteJ'ai lu les deux documents que tu m;envoyer eux quels je donne mon
avis
Le premier concernant l; intervention de la Roussie en George ; je sus contre toutes formes d; interventions dans les affaires d;un état contre un autre sous n;importe quel argument ;car la Roussie dés ses Tsar es ; son héritière l; U R SS de Staline; et son héritière la Roussie de Butine était et elle est toujours occupe des territoires des autres peuples dont les quels se trouves des Musulmans dont la Tchéchénie ; par contre je soutien sans réserve le démarche de la Roussie de reprendre sa place internationale en face les autres puissances euro - américaines a conditions qu'elle né ne serait pas sur nos dos; ni sur nos valeurs moreaux et économiques .
Le deuxième concernant l;occupation condamnable euro - américaine de l;Ira que et ses conséquences graves et douloureuses ..Ici aussi; je ne suis pas d;accorde des cet aines idées avancées dedans a sa voire /
1- Ni Saddam Hussain ; Ni Izat AL Douri;; Ni Tarik Aziz auquel certaines organisations dites humanitaires prêchèrent auprès des américains pour lui libère car il est un des certains hommes irakiens semblables a Mouwafaque AL Rubaii ;ou ; tous les 25 dirigeants irakiens collaborent avec les Occupants d&s 9 avril 2003 qu'ils le considèrent comme une journée de libération de l;Irak et Ni tous l;équipe qui restent avec Saddam jusqu'à le 9 avril 2003 et les autres dirigeants qui restent avec les 25 nouveaux dirigent dés 9 avril ; n'étions pas héros arabo- musulmans ; car ils ont; les uns comme les autres ont fait tous naïvement ou avec leur conscience pour démouler le reste de la beauté le monde arabo- musulman; s;il reste encours quelque choses de sa beauté
2- Le Parti Bathe au quel j;était membre de 1956 a 1986 est un les pré mires responsables de tous les maux dans les quels se trouve note cher pays - nation et nos chères peuples avec les autres partis politiques dont ;les P C I ; Les Partis Islamiques Chiites - Sunnites; les Partis Kurdes et les autres Partis dits laïques;
3- La Résistance n'était pas et elle ne serait jamais ni Bathiste; ni musulmane et ni arabe ; mais elle est irakienne ; arabe ;musulmane; tiers modistes et mondiale Voir Hassib Khairi AL Din; né a Mousul le 1929 PH. D en économique Cambridge D G de Centre des Études de l; Unité Arabe CEU A dés 1981 et des figures de la Résistance dans un de ses livres sous titre; La Future de l; Irak; Édition du C E U A; ainsi parmi de milliers des iaiens et irakiennes ; Muhsin AL Cheikh Radi ; né a Nadjef le 1927 et un membre de Commandement national du P B A S de 1961 a 1964 ; Toma Subhi ; né a Mousul en 1938 ; Sami Hamid; est un Kurde Syndicaliste Widat AL Ani enginiére et journaliste
4- Je suis contre l;hégémonie des certains militaires sur la ou les Résistances ; car elle -s a- ont; de multiples formes dés le pacifisme Gandhi en et militarisme Guevariste
Cher Camarade; permette moi de t'envoyer le statut de Association des Irakien-nes et leurs Ami-es de France pu pliée dans J O F n 1772 du 14 avril 2007 au quelle; j;ai l;honneur d'être jusqu'à ici ;le président et au quelle je ténvité de nous rejoindre
Merci et bientôt;AL Zaidi Hassan;; docteur d'état ès lettres en histoire de la Sorbone en 1989 et écrivant
De: democrite <democrite@neuf.fr>
Objet:
Contact
À: alzaidi.hassan@yahoo.fr
Date: Mardi 30 Septembre 2008,
19h28
Voici mes coordonnées Alexandre MOUMBARIS;52, bd Roger Salengro/93190 LIVRY GARGAN/TEL 01 43 01 01 30
PORT. 06 10 52 36 91
On the alert!
The very quick military victory of the Russian army in Georgia has a positive strategical importance, because it achieved four fundamental results at one time: 1) it wounded to death the puppet Saakashvili, whom, from 2003, had made Georgia the vanguard of the euro-atlantic alliance in Caucasus; 2) it destroyed the myth of "coloured revolutions" and therefore put an and to the Western imperialism’s pretension to bring its puppets to power thanks to the "democratic" mobilization of the masses; 3) it put an and to the euro-american pretension to mutilate Russia's geopolitical power by widening NATO towards the East (Europe, Caucasus and Central Asia); 4) therefore, it undermined in a fatal way the Northern American imperial and unipolar plan.
But the new balance of power which came out from the Russian victory is fragile, and exposed to a certain Northern American counter-offensive. The United States, taken by surprise by the Russian strike, are already threatening a tough revenge. Both presidential candidates (Obama through Brzezinsky and McCain through Palin) indeed have not hesitated to define Russia as the main strategical enemy of the US, both strongly reasserting unipolarism and the consequent will to widen NATO not only to Georgia but also to Ukraine and any country wishing to join it. Finally, while the threat of an attack against Iran is not ruled out, the US have chosen the way of frontal clash with the Bolivarian governments of Latin America.
NATO is not just a tactical weapon or a mere prothesis of the Pentagon to fight every popular anti-imperialist resistance or overthrow hostile governments (as was seen in the war against Yugoslavia and the current ones Iraq and in Afghanistan). NATO is, rather, looked upon by the US as the pillar of their imperial geopolitics, as a structural way of being. This formidable imperial army was conceived to preserve the American worldwide supremacy, and it can play this role by incorporating their allies as vassal states and dealing with every independent country as a hostile force and every popular resistance as "terrorists" (see Iraq).
We have to firmly reject both the American unipolarism and the complementary plan to widen and strenghten NATO. Those two basic elements of the imperialist policy are the factors keeping the world in a state of permanent war and threatening to bring it on the verge of a catastrophic outbreak.
A wide and unitary mobilization for the dissolution of NATO, for the immediate dismantling of its basis worldwide and against any widening, is a categorical priority for anyone who cares not only for peace, but also for the peoples' right to resistance and self-determination.
Next year will be the 60th anniversary of the birth of NATO. We join the movements which proposed a great European mobilization, and ask everyone to do the same.
In the meanwhile we will work to build a first mobilization in occasion of the summit of Ministers for Defence from 26 countries of the European Union, scheduled to take place in December. This summit, after the deadlock of the NATO summit in Bucarest of last April, has indeed to decide about Ukraine and Georgia joining the Membership Action Plan, which is the first step to enter NATO.
Should this happen, as the United States and their most servile allies strongly demand, it would not only be an act of impudent hostility towards Russia, but also towards all the resistant countries and peoples who don't want to submit to the euro-atlantic imperial arrogance. It would mean a huge acceleration towards a conflict of incalculable destructive potential.
The mobilization against NATO and in defence of world peace is the priority!
On the alert!
Iraq ————————————————–
Le Front de libération
nationale d’Iraq
par Ibrahim Ebeid et Hussayn al-Kurdi
De loin la
plus importante histoire, le secret le mieux gardé des media occidentaux
a été la croissance constante de la Résistance iraquienne contre
l’occupation conduite par les États-Unis.
Alors que les services
d’information des États-Unis et de leurs complices focalisaient
l’attention sur la violence entre les communautés ethniques et
religieuses, le Parti Baath socialiste arabe poursuivait une politique
d’unification et de coopération entre ceux en Iraq qui se montraient
décidés à débarrasser leur pays de l’occupant, rétablir son indépendance
et reprendre son rôle aux avant-postes de la lutte arabe contre
l’impérialisme et le sionisme.
L’occupation de Bagdad par les forces
étasuniennes suivie par la déclaration de «victoire» de Bush en 2003, a
marqué le commencement de la résistance
iraquienne conduite par des dirigeants du parti Baath. Saddam Hussein
et d’autres dirigeants baathistes, en consultation avec des habitants de
Bagdad se sont dispersés à travers l’Iraq dans le but d’engager une
guerre de libération nationale et de résistance de longue durée. Ils
n’ont pas voulu rester concentrés à Bagdad afin d’éviter sa destruction
et pour mieux réussir la transition vers une lutte de guérilla ou de
guerre populaire.
Alors que les États-Unis lâchaient leurs escadrons
de la mort, composés d’exilés, contre le peuple iraquien, ciblant ceux
qui soutenaient le Baath ou qui étaient autrement opposés à
l’occupation; le Parti Baath, ses alliés et ses partenaires opéraient
contre l’ennemi, ses pantins et ses hommes de main compris, des
engagements de caractère militaire, en prenant scrupuleusement soin
d’éviter de heurter des innocents, tout en encourageant l’unité des
Iraquiens de toutes les
affiliations religieuses, ethniques ou politiques épris de liberté et
prêts à défendre la nation.
Malgré diverses tentatives pour coopter,
discréditer et diviser le Baath, il est remarquable qu’aucun membre
éminent n’a été amené à trahir les principes du parti, la promotion de
l’unité arabe, et la lutte pour libérer les terres arabes des occupants
étasuniens et israéliens, et cela dans la perspective d’une société
socialiste au service du bien-être des classes populaires.
Saddam
Hussein a émergé comme un dirigeant, grand et résolu, martyr et père
fondateur, champion de la cause arabe et de l’Islam dans la tradition de
Salah al-Din al Ayyoubi, le fabuleux «Saladin» qui avait chassé les
Croisés de Jérusalem et mis en échec leurs efforts pour occuper la
Palestine et subjuguer les forces de l’Islam. Les activités de Saddam et
son exemple ont contribué de manière incommensurable à la ré-émergence
du parti
Baath dans le cœur et la tête de la Résistance. Cela reste un secret
bien gardé aux États-Unis et en occident. Même des cercles gauchistes et
soi-disant «progressistes» qui dans le passé ont soutenu des mouvements
de libération nationale tels que celui du Vietnam, ne se sont pas
manifestés avec des expressions de solidarité similaires pour le cas de
l’Iraq. Ils disent plutôt que le Baath «est mort avec Saddam», que la
Résistance a été écrasée et il ne reste dans leur vision que la «guerre
civile» que propage leur presse. La Résistance, pour eux, n’existe
simplement pas. Heureusement, non seulement elle existe mais elle se bat
en ce moment avec férocité partout dans le pays.
Le «Conseiller à la
sécurité nationale» du régime fantoche Mouwafaq al-Roubaie a confirmé
lors de sa récente visite à Washington que Saddam avait implanté un
«virus incurable» dans les esprits des Iraquiens. Ce «virus» était le
refus
d’accepter l’occupation et son gouvernement fantoche. En même temps,
al-Roubaie a affirmé que lui et ses associés avaient «choisi une fois et
pour toutes leur allié stratégique, les États-Unis d’Amérique».
Un
événement significatif a eu lieu le 26 septembre quand 22 groupes de
résistance iraquiens se sont réunis en Congrès d’unification dans une
partie libérée de Bagdad. Le Congrès a résolu d’unir tous les groupes
présents sur la base de la libération totale de l’Iraq quel que soit le
temps nécessaire. Le Congrès a aussi décidé que l’adhésion au Front
unifié de la Résistance serait ouverte à d’autres groupes ou combattants
qui voudraient s’y joindre. Un Commandement suprême du djihad et de la
lutte de libération a été institué et Izzat Ibrahim al-Douri, le
Secrétaire général du parti Baath et Président de l’Iraq a été élu
Commandant suprême du Front.
Le Commandement suprême
a alors tenu une réunion où l’état-major a été créé. Le lieutenant
général Amir Muhammad Amis a été nommé Commandant suprême en second,
chargé des affaires militaires, alors que le Cheikh Ali Abdallah el
Oubaidi a été choisi pour conduire une structure consultative
religieuse. Un conseil de sécurité nationale a été formé, dirigé par le
général Khalid Sulayman Khalaf. Un conseil des affaires administratives
et financières a été créé sous le commandement du lieutenant général
Muhammad Salih Alqan et un Bureau d’information et de mobilisation a été
créé sous le commandement du général Salah ad Din Ahmad. Le Dr Kan’an
Amin a été nommé porte-parole officiel pour le Djihad et le commandement
de la libération.
Le commandement suprême a déclaré que le Djihad et
le Commandement de libération observaient des «principes sacrés» qui ne
pouvaient être violés. Aucun parti n’était autorisé à prendre part
à des négociations avec l’ennemi étasunien sauf sur la base de ces
principes.
Les conditions pour des négociations avec les forces
d’occupation étaient clairement stipulées selon les termes suivants:
Reconnaître
officiellement la Résistance patriotique et toutes les organisations de
résistance patriotiques, nationalistes arabes et islamiques qu’en font
partie, comme seul représentant légitime du grand peuple iraquien.
Annoncer
officiellement le retrait inconditionnel des forces d’occupation, que
ce soit immédiatement ou par étapes.
Arrêter toutes les attaques, les
poursuites, les assassinats, les destructions, les sabotages, les
dépossessions et les expulsions et retirer leurs troupes d’occupation de
tous les centres de population.
Libérer tous les prisonniers et
détenus sans exception et les dédommager.
Remettre en service l’armée
iraquienne et les forces de sécurité nationales, et les rétablir selon
les règles et les traditions en place avant l’invasion étasunienne. Ils
doivent aussi être indemnisés pour les dommages subis.
Promettre de
compenser l’Iraq pour les pertes et les dommages causés au pays par
l’occupation.
Abroger toutes les lois, décrets et autre législation
promulguée lors de l’occupation.
Si l’ennemi tient à se retirer de
manière à sauver la face, il devrait s’asseoir et parler directement
avec la Résistance concernant l’implémentation de ces principes sacrés.
Sinon, il ne leur resterait que l’effondrement et la fuite.
Après la
préparation d’un programme pour l’implémentation de ces principes,
auront lieu des réunions et des dialogues dans le peuple iraquien qui
permettront au gouvernement intérimaire d’engager des pourparlers avec
les États agresseurs en vue de reformuler les relations officielles sur
la base de l’égalité et la non-ingérence dans les affaires intérieures,
le
respect de l’indépendance, de la souveraineté et de
l’autodétermination.
Après le commencement du retrait de l’ennemi de
notre patrie, les forces de Résistance se rencontreront pour la
formation d’un Conseil national (Shura) pour la surveillance de la phase
transitoire et pour nommer un gouvernement intérimaire pour une période
déterminée, afin de préparer des élections législatives de manière à ce
que le peuple puisse élire librement ses dirigeants.
Les 22 groupes
représentés à la rencontre étaient les suivants:
L’Armée de la
confrérie Nakshabandya
L’Armée des compagnons du Prophète
L’Armée
des Mourabitines
L’Armée de Hamza
L’Armée du Message
L’Armée
de Ibn Al-Walid
Le Commandement unifié des moudjahidin (Iraq)
Les
Brigades de la libération
L’Armée du Farouk
L’Armée de
libération de l’Iraq
Les Escadrons des Chouhadas (martyrs)
L’Armée
des
Sabirines (Patients)
Les Brigades du Djihad sur la terre de
Mésopotamie
L’Armée du Chevalier (dans la région «autonome») au
nord d’Iraq.
Les Escadrons du Djihad à Bassora
Les Escadrons du
Djihad à Fallouja
Le Front populaire national pour la libération de
l’Iraq
Les Escadrons Altaf al-Husseiniya
Les Compagnies de la
libération du sud Salay Tahrir al-Junoub
L’Armée de Hanin
Les
Compagnies de Dyala pour le djihad et la libération
Les Compagnies de
la gloire pour la libération de l’Iraq.
Traduction de
l’arabe Al-Moharer et de l’anglais Alexandre MOUMBARIS]